Tu
m’écris depuis ton pays lointain, celui que tu nommes Nîîn
Et
que tu décris si bien…
Où
me dis-tu le temps n’efface pas le souvenir de ceux que l’on aime…
Je
suis si heureux d’être en pensée dans les allées de ton pays…
Je
suis ému d’y voyager parmi les traces de ta mémoire…
Tu
me dis ce royaume lointain…
Les
calipsis odorants que tu me décris, je les ai parcourus…
J’en
capte encore les effluves… Je frémis presque en ta compagnie
Les
instants donnés comme éternels si on les touche… j’y suis entré…
On
y circule à la vitesse de tes lueurs
Et
la mer de nuages que l’on entend… je t’y accompagne…
Je
t’y ressens… je t’y touche
Je
me souviens de maintenant…
J’ouvre
les yeux sur toi
Ton
royaume est le mien
Je
t’écris depuis le lieu où tu es la reine.
Pascal
Schaefer
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