Tes aquarelles me ravissent, chaque
fleur du maquis est un baiser pour le corps qui s’y abandonne, les Alpilles
deviennent aussi ardentes sous ton pinceau que les collines de Toscane. Je
vénère tes images d’eau et de lumière, tes nuits de cobalt avec la lune blême. A
ton retour demain matin, je ne veux plus
que tu ne me regardes comme une amie, je veux offrir à tes yeux le pâle
velouté de ma nuque sous ma noire chevelure, l’opalescence de mon corps de la
tête aux pieds et le luisant de mes cuisses dans le contre jour de ton atelier.
Si tu le veux, tu seras mon héros.
Impatiemment.
J.P.Z
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